Petit sondage : depuis le 10 février, mercredi des cendres, qui a déjà jeûner ne fut ce que une journée ? Qui a augmenter son temps de prière ? Qui a partagé plus que d’habitude ? Levez les mains frères et sœurs ?
Or vu le faible nombre de mains levées, le Seigneur Jésus nous rappelle que l’urgence à se convertir demeure. Le Seigneur ne cesse de nous le rappeler. Si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous.
Ainsi, il n’est jamais trop tard pour revenir vers le Seigneur car il pardonne toutes tes offenses, te guérit de toute maladie, te couronne d’amour et de tendresse.
Le psaume 102 que nous avons chantés, place Dieu de notre côté, du côté des pécheurs. Mais il ne s’agit pas pour nous pécheurs de se fermer à la conversion, c’est - à - dire au changement radical. La miséricorde de Dieu a de la patience mais cette patience nous donne l’occasion de nous ajuster à la volonté de Dieu. Saurons- nous accepter de bêcher et d’amender notre existence pour qu’elle porte les fruits de Pâques que le Seigneur espère récolter ? N’oublions pas et gardons bien en mémoire que le Seigneur est tendresse et pitié, lent à la colère et plein d’amour. A nous de profiter de ce temps favorable, ce temps du salut pour donner du fruit au risque d’être coupé et jeté dans le feu éternel. (Père Arnaud Goma)
Père Arnaud Goma le 28 février

Nous sommes au milieu du carême donc exposés à un risque, celui de s’essouffler, de se croire déjà arrivé. On risque toujours de se croire arrivé avant même d’être parti, et finalement on fait du surplace.
Le Seigneur Jésus nous rappelle que l’urgence à se convertir demeure.
La miséricorde de Dieu a de la patience mais cette patience nous donne l’occasion de nous ajuster à la volonté de Dieu. Saurons- nous accepter de bêcher et d’amender notre existence pour qu’elle porte les fruits de Pâques que le Seigneur espère récolter ?
A nous de profiter de ce temps favorable !